Cinq mois après le décès de ma femme, j’ai finalement décidé de vendre sa voiture. Mais en ouvrant la boîte à gants pour la vider… je suis tombé sur un secret qui m’a laissé pantois.

Je m’appelle Robert. Cinq mois après le décès de ma femme, j’ai décidé de vendre sa voiture.

Il était là, garé dans l’allée depuis le jour de sa mort, intact. J’ai pensé qu’il était temps de m’en séparer. Mais ce qui semblait être un simple pas en avant s’est transformé en quelque chose que je n’aurais jamais imaginé.

En préparant la voiture pour la vente, j’ai découvert quelque chose qui m’a stupéfait. Cela m’a fait remettre en question tout ce que j’avais cru.

À propos d’elle. À propos de nous. À propos de notre existence commune. Tout dans ma vie a commencé à s’effondrer après le décès de Nancy.

Le journal 

Je ne sais pas comment l’exprimer autrement. Ce qui était important autrefois ne l’est plus. Les jours ont commencé à se confondre.

Les soirées devenaient plus longues et plus pesantes. Je me réveillais le matin et fixais le plafond pendant on ne sait combien de temps avant de me forcer à me lever. J’avais un travail à rendre et des dettes à payer.

Alors je me suis extirpée du lit et j’ai suivi ma routine : me raser, prendre une douche et m’habiller. Mais en réalité, je n’étais pas vraiment présente. Mon corps était présent, mais pas mon esprit.

Même en arrivant au bureau, rester assis derrière mon bureau me semblait une punition. Je fixais l’ordinateur, à peine capable de traiter les mots. Je me sentais déconnecté de tout.

Le deuil a cet effet. Parfois, je me remémorais la semaine précédant le décès de ma mère. Son décès n’était pas inattendu, mais il ne m’a pas facilité la tâche.

 

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