Aux prud’hommes, Hervé Hubert présente des feuilles d’heures signées à l’avance et stipulant huit heures de travail quotidien. Pour Charles et son conseil, il s’agit là de faux puisque les feuilles ne sont “jamais rectifiées quand il y a des heures supplémentaires”, ce qui arrive régulièrement. Il décide alors de suspendre la procédure prud’homale pour attaquer la boîte pour “tentative d’escroquerie au jugement” auprès d’un parquet de Paris. De son côté, Hervé Hubert se défend et indique avoir le sentiment que Charles “souhaite récupérer des sous pour maintenir sa boîte à flot”.