Depuis la mort du rockeur, les relations entre Laeticia Hallyday, sa dernière épouse, et ses enfants issus de précédentes unions, David Hallyday et Laura Smet, sont très tendues. Bien qu’un accord sur l’héritage ait été conclu par la justice en juillet 2020, les membres de la famille ne se parlent toujours pas.
Léa Salamé a alors interrogé Sylvie Vartan sans détour : “Est-ce que c’est l’argent qui empoisonne tout ?” “C’est une partie de la réponse, mais il y a aussi l’éducation… L’entourage familial est crucial. J’ai eu la chance d’être élevée par des personnes aimantes, qui m’ont inculqué des valeurs, qui m’ont servies d’exemple. C’est bien plus simple que d’apprendre la vie par Internet. Je suppose que cela doit être compliqué”, a répondu la chanteuse.
Les propos de Sylvie Vartan semblent pointer du doigt le manque d’amour paternel dans cette querelle, mettant indirectement en cause Laeticia Hallyday, dont les relations avec ses propres parents ont été tumultueuses. En effet, Laeticia a été en grande partie élevée par son arrière-grand-mère alors que son père, l’homme d’affaires André Boudou, tentait sa chance aux États-Unis. “J’ai eu des relations authentiques avec mes parents, j’ai connu l’amour
L’amour de ma mère a été intense, et cela est crucial pour la suite”, estime Sylvie Vartan. “Je pense que lorsqu’on décide d’avoir des enfants, il faut le faire consciemment, sinon il vaut mieux s’abstenir, car élever des enfants nécessite une grande responsabilité, et il faut être prêt à les guider du mieux possible, quelle que soit la situation… Bien sûr, tout le monde fait des erreurs, il n’y a pas de modèle parfait, mais au moins, il faut avoir cette intention au départ.”