Ils arrivèrent vêtus de noir, larmes de crocodile visibles, décidant peut-être déjà quoi vendre en premier. C’est alors que les portes s’ouvrirent.
Et j’étais là, bien vivante, transportée en fauteuil roulant jusqu’au funérarium, le cœur battant plus fort que jamais. Leurs expressions ? Inestimables.
J’ai prononcé un bref discours. Rien de palpitant, juste les faits. Je leur ai rappelé que, même si leur mère biologique était partie, je restais. J’avais tout abandonné pour offrir une belle vie à leurs enfants. En retour, ils me voyaient comme un compte en banque à fermer.

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