Mes beaux-enfants ne pouvaient pas attendre ma mort, ils voulaient mon argent, je leur ai donné quelque chose pour s’étouffer

Pire encore, ils marchandaient ouvertement pour savoir qui recevrait quelle part de ma succession : mes bijoux, ma maison et mes économies. Tels des vautours en vol.

Ce qu’ils n’avaient pas réalisé, c’est que j’étais restée proche du frère de mon défunt mari pendant toutes ces années. Peter, souvent appelé Oncle Peter, est un chirurgien cardiaque réputé du pays. Lorsque je lui ai expliqué la situation, il a programmé mon opération. À titre bénévole.

J’ai choisi de ne pas prévenir mes beaux-enfants. Je les ai laissés continuer à jouer leur petit jeu : faire semblant de se soucier de moi et me balancer des indices pour « faire la paix », tout en complotant secrètement pour partager mes biens. Puis est arrivé mon « décès ».

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