Ma belle-fille a exigé les clés et m’a mis à la porte. Soudain, mon fils est entré en courant et a vu… Et le résultat…

Mais rien de tout cela ne semblait intéresser sa belle-fille, Stéphanie. Elle sortit en trombe, le visage rouge de colère. Sans prévenir, elle gifla George si fort que ses lunettes faillirent s’envoler.

« Ça suffit, mon vieux ! » cria-t-il, la voix tremblante de rage. « Cette maison est à David et moi, maintenant. Tu es faible, inutile, et tu nous freines. » Donne-moi les clés et disparais. On n’a plus besoin de toi !

George se figea, une main sur sa joue, essayant de digérer ce qui venait de se passer. Pendant des années, il avait ravalé ses insultes et ses remarques blessantes, se disant que préserver la paix pour David valait bien l’humiliation. Mais cette gifle lui donnait l’impression d’avoir dépassé les bornes.

Les voisins d’en face regardaient à travers les rideaux. George ressentit une vague de honte, non pas pour lui-même, mais parce que le monde venait d’assister à son humiliation. Il essaya de formuler une réponse d’une voix tremblante. « Stéphanie… c’est ma maison. J’ai travaillé toute ma vie pour ça. On ne peut pas… »

Avant qu’il ait pu terminer, Stéphanie lui arracha les clés des mains tremblantes et lui désigna la rue. « Va chercher une maison de retraite ou un banc dans un parc. Mais n’ose surtout pas revenir ici. »

George ressentit la trahison plus douloureuse que la gifle. Son fils avait fait confiance à Stéphanie, et George espérait trouver un foyer auprès d’elle. Au lieu de cela, il se sentait comme un fardeau. Les larmes aux yeux, il se dirigea vers l’escalier, prêt à quitter la maison autour de laquelle il avait bâti sa vie.

Mais à ce moment-là, une voix familière a brisé l’air tendu.

 

la suite en page suivante

Leave a Comment