Au-dessus de la ville, le ciel devenait plus noir, comme un drap brûlant sur les bords.
Le vent lui frappait le visage et Valentina montait lentement et lourdement les marches du bureau du notaire.

Il n’y avait plus rien à dire.
Sa mère était morte, puis son père. Et maintenant, sa belle-mère.
La seule personne qui la retenait dans cette grande maison froide, où les rires de son amant et d’Ostap résonnaient encore sur les murs.
Dans le couloir lambrissé, sentant le vieux papier et le parfum cher, Ostap souriait comme un chien bien nourri.
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