3. L’opportuniste qui n’apparaît que lorsqu’il a besoin de quelque chose
« Ceux qui n’apparaissent que lorsque cela leur est bénéfique disparaîtront lorsque vous serez celui qui en aura besoin. » — Inspiré par Haruki Murakami
Certains proches ne viennent que lorsqu’ils sont en crise, lorsqu’ils ont besoin d’un canapé, d’un prêt ou d’une échappatoire à leur dernière catastrophe.
Aider n’est pas mal. Mais lorsque leur présence est toujours une demande et jamais un geste d’attention, votre foyer cesse d’être un sanctuaire et devient un refuge à sens unique. Ces relations sapent votre temps, vos finances et votre tranquillité.
N’oubliez pas : les mains qui ne se tendent que pour prendre finiront par vous laisser vides.
Demandez-vous : offrez-vous un soutien ou êtes-vous simplement un arrêt pratique pour quelqu’un qui n’est jamais disposé à marcher à vos côtés ?
Réflexions finales : Votre espace, vos limites, votre paix
En ouvrant votre porte, vous ouvrez votre âme. Être attentif à ceux qui entrent n’est pas égoïste : c’est nécessaire à votre bien-être. Dire « non » est parfois la chose la plus gentille que vous puissiez faire pour vous-même.
Comme l’a écrit un jour Murakami :
« Ce que vous laissez entrer vous change. Choisissez judicieusement. »
Que votre maison soit un espace sacré, peuplé uniquement de personnes qui vous apportent chaleur, respectent vos limites et vous accompagnent avec amour et respect. Les autres, même s’ils sont de la même famille, peuvent rester dehors.