La nuit de noces, j’ai dû céder mon lit à ma belle-mère parce qu’elle était « ivre » — le lendemain matin, j’ai trouvé quelque chose collé au drap du lit qui m’a laissé sans voix.

Pendant la nuit de noces, épuisée par une longue journée passée à recevoir des invités, je me suis réfugiée dans ma chambre, espérant serrer mon mari dans mes bras et dormir profondément. Pourtant, à peine avais-je fini de me démaquiller que la porte s’est ouverte :

« Maman est trop ivre, laisse-la s’allonger un peu, c’est trop bruyant en bas. »

Ma belle-mère, une femme autoritaire et notoirement stricte, est entrée en titubant, serrant un oreiller dans ses bras, son haleine empestant l’alcool, sa chemise décolletée, son visage rouge.

Alors que j’allais l’aider à aller au salon, mon mari m’a arrêté :

« Laisse maman s’allonger ici, ce n’est qu’une nuit. Une nuit. La nuit de noces. »

J’ai porté l’oreiller avec amertume jusqu’au canapé, n’osant pas réagir de peur d’être qualifiée de « nouvelle épouse déjà impolie ».

Je me suis retournée dans tous les sens toute la nuit, incapable de dormir. C’était presque le matin quand je me suis enfin endormie.

À mon réveil, il était presque 6 heures. Je suis montée à l’étage pour réveiller mon mari et descendre saluer ma famille maternelle.

J’ai doucement poussé la porte pour l’ouvrir… et je suis restée figée.

Mon mari était allongé, le dos tourné vers l’extérieur. Ma belle-mère était allongée tout près de lui, sur le même lit que j’avais abandonné.

Je m’approchai, avec l’intention de le réveiller. Mais, tandis que mon regard parcourait le drap, je m’arrêtai brusquement.

Sur le drap blanc pur… il y avait une tache brun rougeâtre, légèrement tachée comme du sang séché.

Je l’ai touchée – sèche, mais encore humide sur le bord. Et l’odeur… n’était pas celle de l’alcool.

 

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