La porte s’ouvrit pour révéler Tom et Pearl, pris en flagrant délit. “Bon sang, Perry, ne…” Le plaidoyer de Tom fut interrompu par la fureur froide de M. Dickens.
“Tu es viré”, déclara-t-il, scellant par ces mots le destin de Tom.
Margaret s’éloigna, déterminée à aller de l’avant.
Lorsque la porte d’entrée se referma derrière elle avec un doux déclic, elle ressentit un étrange soulagement. Mais le répit fut de courte durée, car le bruit d’une supplication brisa le calme. Tom est à la maison.
“Margaret, s’il te plaît”, supplia-t-il, traînant derrière elle comme une ombre. “J’ai fait une erreur. J’ai besoin de voir les filles ! Je veux être avec vous !”
Elle lui fit alors face, le regard fixe et résolu. “Non, Tom. Les filles et moi… nous nous débrouillerons très bien sans toi !”
Margaret l’a mis à la porte, sachant qu’elle n’en était devenue que plus forte et qu’elle se débrouillerait très bien en tant que parent célibataire. Elle ferait n’importe quoi pour donner à ses filles une bonne vie et les sauver de leur père infidèle.
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