L’interprétation dépendrait aussi du contexte
Chose plus épatante encore : notre propension à voir un lapin ou un canard dépendrait du contexte et de l’environnement extérieur dans lequel nous voyons l’image. A Pâques par exemple, nous serions plus enclins à voir le lapin, influencés par les pratiques de cette fête. Selon le psychologue américain, nous avons tendance à créer des liens entre des éléments matériels- en l’occurrence les animaux présents sur l’image- avec des concepts qui sont éloignés du thème, comme le temps. Une analyse qui prouve que l’esprit humain est encore un mystère jusque-là non totalement élucidé.
Le test de Rorschach en dirait également long sur notre esprit
Vous les avez certainement vues dans des films rétros. Ces images en forme de taches d’encre désormais tombées en désuétude servaient autrefois à interpréter la psyché. Leur nom : le test de Rorschach en référence au psychiatre suisse qui l’a élaboré. Leur interprétation servirait à mettre le doigt sur plusieurs dimensions de la vie telles que « le rapport au père ». Une dimension psychanalytique encore rarement utilisée aujourd’hui mais qui servait à distinguer un « malade » d’une personne saine d’esprit. Cela servait aussi à établir un diagnostic en fonction de la perception de celui qui visionne ces taches.Aujourd’hui, il existe d’ailleurs une pléthore de tests pour en savoir plus sur votre personnalité.
