Des internautes cherchent des réponses sur de vieux objets en bois qui donnaient des vêtements au vent

Le modèle moderne que nous connaissons aujourd’hui remonte à un brevet de 1853 d’une pince à linge déposé par David M. Smith, du Vermont.

Selon son brevet, daté du 25 octobre 1853, les pinces à linge actualisées « sont articulées ensemble » par un fil « de manière à ce que les deux pattes les plus longues puissent être rapprochées l’une de l’autre et en même temps écarter les pattes les plus courtes ».

Not your typical “Clothespin” Skin 4, a sculpture on Umeå Arts Campus by Turkish artist Mehmet Ali Uysit, is commonly…Les deux pièces de bois sont façonnées de manière à former une pince lorsqu’elles sont serrées l’une contre l’autre. Cela permet à la pince à linge de s’accrocher solidement aux vêtements sans les endommager. Le mécanisme à ressort garantit que la pince à linge reste fermée lorsqu’elle est utilisée, offrant ainsi une prise fiable sur le linge, même en cas de vent.

Smith précise dans le brevet : « Un autre avantage, très important lui aussi, [que] mon épingle à linge améliorée possède par rapport à l’épingle ordinaire, c’est qu’elle ne peut pas être détachée des vêtements par le vent, comme c’est le cas avec l’épingle ordinaire, ce qui est un grave inconvénient pour les lavandières ».

Des épingles qui évoluent
Au fur et à mesure que l’industrialisation progressait au 19e et au début du 20e siècle, le processus de fabrication des pinces à linge en bois s’est mécanisé. Des usines de fabrication de pinces à linge en bois sont apparues, produisant de grandes quantités de pinces à linge standardisées à un rythme plus rapide et à moindre coût. Les pinces à linge en bois sont ainsi devenues plus accessibles à un plus grand nombre de ménages, ce qui a contribué à leur utilisation généralisée comme outil de blanchisserie.

Tout au long du 20e siècle, les pinces à linge en bois sont restées un élément essentiel dans les foyers du monde entier, malgré l’introduction de matériaux alternatifs tels que le plastique. Leur simplicité, leur durabilité et leur prix abordable en ont fait un choix privilégié pour l’étendage du linge, en particulier pour ceux qui n’ont pas accès aux technologies modernes de séchage.Aujourd’hui, les pinces à linge en bois continuent d’être produites et utilisées dans les foyers du monde entier, que ce soit pour l’artisanat ou le séchage du linge, et sont appréciées pour leur attrait nostalgique et leurs propriétés écologiques.

Si les pinces à linge en plastique sont devenues plus courantes dans certaines régions en raison de leur faible coût et de leur production de masse, les pinces à linge en bois restent un symbole des pratiques de blanchisserie traditionnelles et d’un mode de vie durable.

Qu’est-ce qui est le plus grave, perdre ses chaussettes dans le vent ou dans un sèche-linge ? Dites-nous ce que vous pensez de cette histoire et partagez-la avec vos amis pour que nous puissions entendre ce que les autres ont à dire !

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