L’histoire remarquable de Jono Lancaster est une source d’inspiration pour nous tous

Nous vivons dans un monde où la réussite consiste à aller de l’avant et à essayer de ne pas trop se démarquer. Parce que si vous ne vous intégrez pas ou si vous êtes un peu différent des autres, vous êtes considéré comme « bizarre » ou « anormal ».

C’est une triste vision de la vie, qui accorde trop d’importance à notre apparence et à notre comparaison avec nos pairs.

Demandez à Jono Lancaster, une personne en chair et en os comme le reste d’entre nous, mais qui, malheureusement, s’est souvent vu rappeler douloureusement à quel point le monde peut être cruel.

Jono Lancaster est né en Angleterre en octobre 1985 – mais il ne ressemblait pas aux autres bébés à l’hôpital

Ce précieux petit garçon était atteint du syndrome de Treacher Collins, une maladie congénitale rare qui entraînait un développement asymétrique des os de son visage.

Après leur avoir annoncé le diagnostic, les médecins ont également dit aux parents de Jono qu’il ne pourrait probablement jamais marcher ou parler. C’en était trop pour le père et la mère de Jono, choqués, qui l’ont abandonné.

Les parents étaient en état de choc

« Quand je suis né, mes parents étaient en état de choc total. Je suis sorti de l’hôpital 36 heures après ma naissance. Les services sociaux ont trouvé quelqu’un pour s’occuper de moi. La famille d’accueil était une dame qui s’appelait Jean », a raconté Jono lors de la conférence Nord 2015.

Lorsqu’il avait moins de deux jours, les parents de Jono l’ont fait adopter et ont disparu. L’hôpital a contacté les services sociaux et une femme merveilleuse, Jean Lancaster, a recueilli Jono et l’a élevé.

Jean n’a pas été effrayée ou choquée lorsqu’elle a vu le petit garçon. Elle l’a simplement pris dans ses bras et a ressenti un lien immédiat. Jean s’est tournée vers l’infirmière et a dit : « Quand pourrai-je le ramener à la maison ? »

Dès le début, sa mère d’accueil lui a donné l’amour et les soins dont tout enfant a besoin, et Jono ne pouvait pas demander une mère meilleure et plus dévouée.

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