4. Ils minimisent leurs propres besoins
Les personnes compatissantes sont promptes à demander « Comment vas-tu ? », mais réticentes à admettre « J’ai besoin d’aide ». La véritable amitié exige une vulnérabilité mutuelle. Sans s’ouvrir, elles empêchent les autres de prendre soin d’elles en retour, maintenant ainsi les relations superficielles.
5. Ils se surmènent
Parce qu’ils veulent être là pour tout le monde, les gens bien ont tendance à se disperser, jonglant entre famille, collègues et obligations sociales. Le prix à payer ? Ils n’ont ni le temps ni la concentration nécessaires pour construire les liens profonds et durables qu’exige une véritable amitié.
6. Leur gentillesse est prise pour de la faiblesse
Malheureusement, une gentillesse constante peut être interprétée à tort comme de la passivité ou de la naïveté. On peut apprécier leur présence, mais ne pas les percevoir comme fiables, forts ou influents. Cela les maintient dans la catégorie des « connaissances agréables » plutôt que des amis de confiance.
7. Ils cachent des parties d’eux-mêmes
Parfois, la gentillesse devient un masque. À force de vouloir être agréables, ils refoulent des aspects moins « acceptables » d’eux-mêmes : la colère, la tristesse, les excentricités, voire les passions. Mais l’amitié se nourrit d’authenticité. Sans se montrer pleinement, les autres n’ont jamais l’occasion de se rapprocher profondément de qui ils sont vraiment.
